"Aider Sommières"
Deux mots entendus souvent de la bouche du Sommiérois Qui Préside, ce 25 octobre dans sa présentation du "dispositif complaisance". Deux mots familiers à mon oreille, pour les avoir entendus souvent au cours des quatre années de soviets auxquels j'ai assisté.
Mais j'ai peu souvent entendu "aider -autre commune-" ...
Pour soutenir ma thèse, je vais compiler et actualiser ce que j'ai écrit dans mon ancien blog. Et j'en ferai une page "Des sucreries pour Sommières".
Un SQP censé parler, ce 25 octobre, au nom du politburo. Mais un SQP bien seul derrière l'étal pour "présenter la marchandise", seulement flanqué du vice-président "finances" qui a fait une présentation toute technicienne des implications financières de ce "dispositif complaisance" (à mon avis, il a très bien "fait le job") sans s'exprimer sur son opportunité.
Tous les autres vice-présidents étaient dans la salle au milieu des conseillers "non-initiés", alors qu'ils sont habituellement derrière l'étal aux côtés du SQP.
Et deux membres du politburo (deux maires) ont quitté la réunion dès avant le début de la présentation.
Et deux membres du politburo (deux maires) ont quitté la réunion dès avant le début de la présentation.
Pour la technique ... Le "lycée de Sommières" est hors compétence communautaire, c'est reconnu par le SQP. L'union des soviets ne peut donc pas financer en investissement direct.
Qu'à cela ne tienne ! On va créer un "fonds de concours" -voir ici- (c'est une forme de subvention). Mais pour cela, il faut que l'opération bénéficiaire de ce fonds intéresse=concerne l'union des soviets ... Et pour le moment, l'intérêt n'a pas été reconnu ...
Qu'à cela ne tienne ! On va faire voter "l'intérêt communautaire" du projet. Un projet "candidaté" par une seule commune, sans concertation préalable avec l'union des soviets, laquelle est nettement dépassée par l'étendue territoriale du projet (carte scolaire, j'y reviendrai) et n'a pas été associée aux choix préalables (notamment pour l'aspect "assise foncière", j'y reviendrai).
Mais il faut bien "aider Sommières" ...
Pour le montant à prévoir au budget ... Selon les affirmations de la commune, relayées par le V-P "finances" sans qu'elles aient été vérifiées (si j'ai bien compris ...), le coût global est de 45 Mons€ et le "reste à charge" pour la commune est, après subventions déjà obtenues, de 9,7 Mons€ (que ne ferait-on pas pour le prestige ?...).
En droit budgétaire, l'union des soviets pourrait être autorisée par ses "conseillers" à financer environ 2 Mons€.
Le SQP l'a dit : le budget de la communauté est fragile ; mais il a dit aussi, péremptoire, "on financera Sommières".
1,5 Mons€ en "espèces sonnantes et trébuchantes" sur 3 ans, dont 400 000 € avant la fin de l'année.
Et 500 000 € par la donation de terrains de la "zone CORATA" pour financer la "compensation écologique" que nécessitera l'implantation du lycée.
Je m'arrête pour aujourd'hui. Mais j'y reviendrai.
Qu'à cela ne tienne ! On va faire voter "l'intérêt communautaire" du projet. Un projet "candidaté" par une seule commune, sans concertation préalable avec l'union des soviets, laquelle est nettement dépassée par l'étendue territoriale du projet (carte scolaire, j'y reviendrai) et n'a pas été associée aux choix préalables (notamment pour l'aspect "assise foncière", j'y reviendrai).
Mais il faut bien "aider Sommières" ...
Pour le montant à prévoir au budget ... Selon les affirmations de la commune, relayées par le V-P "finances" sans qu'elles aient été vérifiées (si j'ai bien compris ...), le coût global est de 45 Mons€ et le "reste à charge" pour la commune est, après subventions déjà obtenues, de 9,7 Mons€ (que ne ferait-on pas pour le prestige ?...).
En droit budgétaire, l'union des soviets pourrait être autorisée par ses "conseillers" à financer environ 2 Mons€.
Le SQP l'a dit : le budget de la communauté est fragile ; mais il a dit aussi, péremptoire, "on financera Sommières".
1,5 Mons€ en "espèces sonnantes et trébuchantes" sur 3 ans, dont 400 000 € avant la fin de l'année.
Et 500 000 € par la donation de terrains de la "zone CORATA" pour financer la "compensation écologique" que nécessitera l'implantation du lycée.
Je m'arrête pour aujourd'hui. Mais j'y reviendrai.