Le deuxième sujet présenté fut celui de la sécurité, qui serait assurée, si j'ai bien compris, par le recrutement de 4 fonctionnaires supplémentaires de police municipale (comme sur l'image correspondante dans la vidéo - une coïncidence ?...).
Avec un "focus" : faire respecter la "zone bleue" devant la poste ...
Bigre !... N'y aurait-il des "voitures-ventouses" gênantes qu'à cet endroit là ? Et la sécurité (laquelle ?) se limiterait-elle au stationnement gênant (qui est de la compétence d'un A.S.V.P. - voir ici) ? Et ne pourrait-on pas l'envisager d'une façon autre que par la seule "présence policière répressive" ? Certes, il existe la théorie d'une école politicienne : 1 policier municipal pour 1000 habitants ; mais, dans les faits, ce ratio est très variable ... et l'efficacité tout aussi variable.
Au programme du challenger, d'autres nouveaux emplois seraient créés "dans les services techniques et administratifs" (rubrique "Travaux").
Bigre !... N'y aurait-il des "voitures-ventouses" gênantes qu'à cet endroit là ? Et la sécurité (laquelle ?) se limiterait-elle au stationnement gênant (qui est de la compétence d'un A.S.V.P. - voir ici) ? Et ne pourrait-on pas l'envisager d'une façon autre que par la seule "présence policière répressive" ? Certes, il existe la théorie d'une école politicienne : 1 policier municipal pour 1000 habitants ; mais, dans les faits, ce ratio est très variable ... et l'efficacité tout aussi variable.
Au programme du challenger, d'autres nouveaux emplois seraient créés "dans les services techniques et administratifs" (rubrique "Travaux").
Et, entendue dans la rubrique "Finances" (une tirelire "cochon rose" sur la vidéo), une expression : "redéployer une partie de l'excédent de fonctionnement sur les dépenses de fonctionnement".
Qu'en termes choisis ces choses-là sont dites ! Un langage habituel à cette même école politicienne ... Et une pratique souvent constatée, notamment dans notre Communauté de communes qui a été ainsi conduite au bord de la "rupture" en début d'année 2015.
Pour moi, c'est en fait tout bonnement augmenter les dépenses de fonctionnement et réduire à concurrence les capacités de la commune en matière d'investissement.
Alors, pour faire face à un gros besoin (réfection importante des voiries par exemple) ou à une volonté d'aménagement ou de développement (nouveaux services ou nouvelles structures au service des habitants), ... on recourt aux expédients habituels : emprunt pour "couvrir" l'emprunt, augmentation de la dette communale, puis augmentation des impôts ... ou appel à des investisseurs privés qui accaparent l'action et le domaine publics.
Surtout qu'il faudra tenir compte de la "disparition" de la taxe d'habitation (environ 47% des recettes fiscales de la commune). Certes il y aura "compensation" par une dotation d'État ; mais on n'a aucune certitude sur son évolution. Et la seule "variable d'ajustement" disponible reste la taxe foncière.
Toujours mon mauvais esprit ... Mais le challenger a écrit dans sa "profession de foi" : je serai le garant d'une gestion saine, sans augmentation des impôts locaux ni de l'endettement de la commune.
Qu'en termes choisis ces choses-là sont dites ! Un langage habituel à cette même école politicienne ... Et une pratique souvent constatée, notamment dans notre Communauté de communes qui a été ainsi conduite au bord de la "rupture" en début d'année 2015.
Pour moi, c'est en fait tout bonnement augmenter les dépenses de fonctionnement et réduire à concurrence les capacités de la commune en matière d'investissement.
Alors, pour faire face à un gros besoin (réfection importante des voiries par exemple) ou à une volonté d'aménagement ou de développement (nouveaux services ou nouvelles structures au service des habitants), ... on recourt aux expédients habituels : emprunt pour "couvrir" l'emprunt, augmentation de la dette communale, puis augmentation des impôts ... ou appel à des investisseurs privés qui accaparent l'action et le domaine publics.
Surtout qu'il faudra tenir compte de la "disparition" de la taxe d'habitation (environ 47% des recettes fiscales de la commune). Certes il y aura "compensation" par une dotation d'État ; mais on n'a aucune certitude sur son évolution. Et la seule "variable d'ajustement" disponible reste la taxe foncière.
Toujours mon mauvais esprit ... Mais le challenger a écrit dans sa "profession de foi" : je serai le garant d'une gestion saine, sans augmentation des impôts locaux ni de l'endettement de la commune.
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